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Jour de carence
[ʒur dœ karɑ̃s]
Définitions de « jour de carence »
Jour de carence - Locution nominale
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(Travail) Premier jour d’un arrêt maladie, quand il est non remboursé par l’employeur.
Le jour de carence incarne le coût invisible de la maladie pour le salarié.
— (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle)
Étymologie de « jour de carence »
Usage du mot « jour de carence »
Évolution historique de l’usage du mot « jour de carence » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « jour de carence » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « jour de carence »
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La Cour des comptes vient d'évaluer l'impact annuel des arrêts-maladie dans la fonction publique à la demande de la commission des Finances de l'Assemblée nationale. De toute évidence, le rétablissement en 2018 du jour de carence pour les fonctionnaires, quatre ans après son abrogation, n'a pas suffi à enrayer l'augmentation des dépenses d'indemnités journalières.
Les Echos — Fonctionnaires : le jour de carence n'a pas suffi à enrayer la hausse des arrêts-maladie | Les Echos -
Le jour de carence est la base de calcul pour fixer le délai entre le jour du début de l'arrêt maladie prononcé par le médecin et le jour à partir duquel le salarié reçoit ses indemnités journalières (IJ). Durant ce délai, le salarié arrêté n'est pas indemnisé par la Sécurité sociale. Le nombre de jours de carence n'est pas le même selon que l'on soit salarié du secteur privé ou de la fonction publique. Attention, cette notion ne doit pas être confondue avec le délai de carence de Pôle emploi.
Jour de carence : principe, calcul, exceptions -
Mais d’autres raisons expliquent ce dévissement dans l’opinion. "Il n’y avait pas de communication, et les mesures prises étaient impopulaires", rappelle Frédéric Dabi. C’est donc la conjugaison de cette posture jupitérienne, qu’il a théorisée, et des annonces telles que la hausse de la CSG, le rétablissement du jour de carence dans la fonction publique, la réforme du Code du travail, qui ont amené à cette situation. "Il y avait un parasitage", résume le dirigeant de l’Ifop. Cette situation a contraint le président de la République à changer de fusil d'épaule.
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