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Lanceur de balle de défense
Définitions de « lanceur de balle de défense »
Lanceur de balle de défense - Locution nominale
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Synonyme de flashball, fusil qui envoie des balles non létales.
Le flashball, ou «lanceur de balle de défense», est né au début des années 90.
— William Molinié, « Après le taser
Étymologie de « lanceur de balle de défense »
- composé de lanceur et de balle de défense
Citations contenant le mot « lanceur de balle de défense »
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Au moment où on enregistre de nombreux blessés parmi les manifestants par des tirs de balles en caoutchouc venant des forces de l’ordre, la presse utilise indifféremment deux expressions : «flash-ball», ou «LBD» (pour lanceur de balle de défense) pour désigner ces armes.
Libération — Y a-t-il une différence entre un "lanceur de balle de défense" et un "flash-ball"? – Libération -
Le lanceur de balle de défense (LBD) a encore de beaux jours devant lui. C’est ce que laisse penser un récent appel d’offres émis par le ministère de l’Intérieur pour renouveler le stock de munitions de cette arme, dont les tirs ont gravement blessé de nombreuses personnes au cours des dernières années.
Libération — Pourquoi l’Etat commande-t-il (encore) massivement des munitions de LBD en dépit des critiques de cette arme ? – Libération -
L'Etat a été condamné à verser près de 50 000 euros à Florent Castineira, un supporter du MHSC, éborgné par un tir de lanceur de balle de défense en 2012, dans un jugement du tribunal administratif de Montpellier dont l'AFP a eu copie ce mercredi.
midilibre.fr — L'Etat versera près de 62 700 € à "Casti", le supporter de Montpellier éborgné en 2012 - midilibre.fr -
Le lanceur de balle de défense 40 mm fabriqué par l’armurier suisse Brügger & Thomet, le Brügger & Thomet GL06, ou LL06 dans sa version « moins dangereuse » (sic), destiné à des applications militaires et policières et appelé LBD 40 en France, est à ce titre exporté de Suisse sous l’appellation « matériel de guerre« .
BUG BROTHER — Le LBD est bien une « arme de guerre » – BUG BROTHER -
Le 24 novembre, en bas des Champs-Élysées. Un jeune homme est repéré, le moignon en sang, par plusieurs journalistes, manifestantes et manifestants. Il vient de perdre sa main, à la suite d'un jet de grenade. Le 26 janvier, place de la Bastille, toujours à Paris. Un homme s'effondre, l’œil sanguinolent, en plein Facebook Live. Une semaine plus tard, le responsable d'un syndicat lycéen voit son pied doubler de volume après un tir de lanceur de balle de défense (LBD). Chaque samedi depuis trois mois, des dizaines de personnes suffoquent au milieu des gaz lacrymogènes dans les manifestations des «gilets jaunes».
Slate.fr — Ce que les «street medic» disent de la gestion française des manifestations | Slate.fr