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Manger à s'en faire péter la sous-ventrière
[mɑ̃ʒe a sɛn fɛr pete la susvɑ̃trjɛr]
Définitions de « manger à s'en faire péter la sous-ventrière »
Manger à s'en faire péter la sous-ventrière - Locution verbale
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(Familier) Trop manger.
Se laisser emporter par l'excès jusqu'à frôler l'indigestion.
— (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle)
Étymologie de « manger à s'en faire péter la sous-ventrière »
- L’expression se faire péter la sous-ventrière date de l’époque où les chevaux étaient pratiquement les seuls modes de traction. Lorsqu’ils avaient mangé beaucoup d’herbage, il arrivait parfois que, sous l’influence de la fermentation intestinale, la sous-ventrière, harnais passant sous le ventre du cheval, venait à craquer… d’où l’expression qui signifie que l’on a tellement mangé que la sous-ventrière, et dans le cas des humains, la ceinture ou le corset venaient à craquer. → voir manger, faire, péter et sous-ventrière.
Citations contenant le mot « manger à s'en faire péter la sous-ventrière »
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Dans la joie et l'allégresse des fêtes de fin d'année, il n'était pas rare de voir les convives manger à s'en faire péter la sous-ventrière, oubliant pour un soir les soucis du quotidien.
Émile Dubois — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle -
Les dimanches chez grand-mère étaient synonymes de repas gargantuesques, où l'on se retrouvait tous à manger à s'en faire péter la sous-ventrière, bercés par le parfum des plats mijotés.
Claire Lemarchand — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle -
Il faut savoir profiter des plaisirs simples de la vie, disait-il souvent, même si cela signifie parfois manger à s'en faire péter la sous-ventrière après une journée bien remplie.
Julien Delacroix — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle