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Meule gisante
Définitions de « meule gisante »
Meule gisante - Locution nominale
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(Meunerie) (Vieilli) Meule inférieure d’un moulin, celle sur laquelle tourne la meule supérieure.
Le même inconvénient a toujours subsisté, principalement pour les meules percées à jour avec toiles métalliques ou textiles, à savoir que la meule gisante s'use beaucoup plus vite aux points rapprochés du centre appelés le cœur et l’entrepied de la meule, que vers la circonférence appelée feuillère, […].
— « Brevet n° 98065, en date du 5 février 1873
Étymologie de « meule gisante »
Usage du mot « meule gisante »
Évolution historique de l’usage du mot « meule gisante » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « meule gisante » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « meule gisante »
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Un peu plus loin, on retrouve les anciens emplacements de la meule gisante et de la meule courante. Un axe de transmission permettait de les mettre en mouvement. Pratique, le blé est traité au même niveau. Pour exporter les sacs de farine, c’est bien plus facile !
actu.fr — VIDEO. À la découverte de l'unique moulin cavier en Mayenne | Les Nouvelles de Sablé -
Quant aux diverses parties du mécanisme intérieur, la boîte destinée à contenir les deux meules, la meule gisante et la meule courante, la trémie, sorte de grande auge carrée, large du haut, étroite du bas, qui devait permettre aux grains de tomber sur les meules, l’auget oscillant destiné à régler le passage du grain, et auquel son perpétuel tic-tac a fait donner le nom de « babillard », et enfin le blutoir, qui, par l’opération du tamisage, sépare le son de la farine, cela se fabriqua sans peine.
Jules Verne — L’Île mystérieuse -
L'œillard est percé au centre d'une pièce de meulière très-dure, hexagone en général, qu'on appelle le boîtard. Pour la meule gisante ou dormante, le boîtard est en fonte, et le fer de meule le traverse sans laisser de jour.
Dictionnaire universel théorique et pratique du commerce et de la navigation — Paris : Guillaumin & Cie