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Psychologie sociale

[psikɔlɔʒi sɔsjal]
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Définitions de « psychologie sociale »

Psychologie sociale - Locution nominale

  • Discipline qui étudie l'influence des processus cognitifs et sociaux sur les relations entre les individus.

    La psychologie sociale éclaire les mécanismes invisibles qui façonnent nos interactions quotidiennes.
    (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle)

Étymologie de « psychologie sociale »

Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
 Composé de psychologie et de social.

Usage du mot « psychologie sociale »

Évolution historique de l’usage du mot « psychologie sociale » depuis 1800

Fréquence d'apparition du mot « psychologie sociale » dans le journal Le Monde depuis 1945

Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.

Citations contenant le mot « psychologie sociale »

  • Cet état d'esprit ne surprend pas Patrick Rateau, professeur de psychologie sociale à l'université Paul Valéry-Montpellier 3. «On a tous les mécanismes réunis pour faire naître une peur collective», souligne le spécialiste. «De façon objective, il s'est produit un changement dans le niveau de sécurité : on…
    Madame Figaro — «J'ai une petite voix qui me dit “Et si jamais ?”» : ces Français qui se préparent au pire et s'inquiètent d'une 3e Guerre mondiale
  • Le Covid a permis bien des expériences de psychologie sociale grandeur nature. La France est le pays européen, après le Royaume-Uni, qui a particulièrement cultivé cette démarche. Depuis 2013, la Direction interministérielle pour la transformation publique (DITP) abrite une équipe spécialisée en sciences comportementales. Objectif : prendre en compte la psychologie pour améliorer l’action publique.
    La Vie.fr — Connaissez-vous le « nudge », cet outil d’incitation utilisé par le gouvernement ?
  • Le malaise est aussi intime qu’universel. Vanessa Juarez, chercheuse en psychologie sociale (UNILaps) à l’Université de Lausanne, analyse cet état dans le contexte actuel: «Nous sommes déstabilisés car nous ne parvenons pas à comprendre si notre comportement est adapté. Les normes sociales rendent le monde plus prévisible et simplifient nos actions. Or, actuellement, les codes sociaux se renégocient. Pour ce faire, on s’observe et on est observé. C’est de là que vient le sentiment de gêne. Il y a aussi une part d’incertitude: on ne sait pas si, en juin, on sera de nouveau dans le pétrin et cela participe à cette sensation étrange.»
    Le Temps — Dans le monde d’après, le malaise, c’est les autres - Le Temps
  • Passionnantes, complexes, et bien souvent polémiques, ces questions explorées de longue date par les philosophes, les psychologues et les sociologues, ont trouvé des éléments de réponse à la fois originaux et féconds dans les travaux de George Herbert Mead (1863-1931). À la croisée de plusieurs disciplines, les recherches pionnières de Mead constituent une source d’inspiration majeure pour la sociologie pragmatiste, la psychologie sociale ou les sciences politiques.
    Mead : philosophe, psychologue, sociologue - La Vie des idées
  • Le complotisme est devenu un sujet de premier plan dans le débat public, exacerbé par la crise du Covid-19 et les nombreuses théories alternatives autour de l’efficacité du vaccin ou de l’origine du virus. Alors que la question de l’adhésion aux théories du complot est souvent abordée sous le prisme de l'(ir)rationnalité supposée de ses partisans, le chercheur en psychologie sociale belge Kenzo Nera propose de s’intéresser aux causes sociales des mécaniques complotistes dans Complotisme et quête identitaire*.
    www.20minutes.fr — « Il ne faut pas réduire le complotisme à une question d’irrationalité », explique le chercheur Kenzo Nera
  • « Des études démontrent que lorsqu’on est en contact avec des gens qui proviennent de groupes sociaux différents, âges, cultures et religions variés, on a plus de tolérance, moins de préjugés, mais aussi une pensée plus flexible, plus de créativité et une plus grande ouverture envers de nouvelles expériences », explique Marina Doucerain, professeure agrégée en psychologie sociale à l’UQAM.
    La Presse — Pandémie et relations sociales | Sommes-nous devenus plus fermés d’esprit ? | La Presse
  • Tendre la main à une personne différente de soi n’est pas toujours aisé. Il est toutefois important de passer par-dessus nos appréhensions, puisque les rapports interculturels ont d’importants bienfaits, explique la professeure de psychologie sociale Marina M. Doucerain.
    L’actualité — Qui se ressemble s’assemble ? Oui, mais... | L’actualité
  • Aminata Dramane a étudié en France à l’université de Caen. Elle est titulaire d’un doctorat en psychologie sociale et d’un diplôme de psychopathologie sociale. Chercheuse en sciences sociales, elle a enseigné à l’Institut d’ethnosociologie de l’université d’Abidjan (Côte d’Ivoire) et travaillé pour plusieurs organisations régionales et internationales.
    Amazone de la semaine :Aminata Dramane Traoré | maliweb.net


Sources et ressources complémentaires

SOMMAIRE

Source : Google Books Ngram Viewer, application linguistique permettant d’observer l’évolution au fil du temps du nombre d'occurrences d’un ou de plusieurs mots dans les textes publiés.