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Surface terrière

Définitions de « surface terrière »

Surface terrière - Locution nominale

  • (Métrologie, Sylviculture) Surface de la section d’une tige à hauteur d’homme.

    La surface terrière (notée g) d’un arbre correspond à la surface de la section transversale de cet arbre à hauteur d’homme. En clair, c’est la surface du tronc coupé à 1,30 m.
    — CRPF Lorraine-Alsace, La surface terrière : une mesure très terre à terre
  • (Par extension) (Métrologie, Sylviculture) Somme de ces surfaces pour tous les arbres d’un peuplement, généralement rapportée à l’hectare.

    Pour les chênes, dès lors que la peuplement atteint 10 à 12 m de hauteur, le niveau de surface terrière optimal est compris entre 14 et 18 m² en futaie régulière comme en futaie irrégulière.
    — CRPF Pays de la Loire, Connaître et utiliser la surface terrière

Étymologie de « surface terrière »

→ voir surface et terrière

Usage du mot « surface terrière »

Évolution historique de l’usage du mot « surface terrière » depuis 1800

Citations contenant le mot « surface terrière »

  • Pour un suivi effectué à l’échelle de la forêt, la surface terrière d’équilibre retenue est de 13−14 m²/ha de tiges précomptables et de 3−4 m²/ha de taillis et perches.
    Thierry Sardin — Chênaies continentales
  • Il existe une relation à peu près constante dans un peuplement donné entre la surface de la section des troncs à hauteur d'homme et la surface occupée par les cimes, il est facile de déterminer dans chaque cas particulier quelle doit être la surface totale théorique de ces sections que l'on appelle la surface terrière de la réserve
    Cochet — Bois
  • Au-delà de la moitié de l’âge d’exploitabilité (autrement dit en phase de maturation) les suivis en nombre de tiges et en surface terrière sont équivalents si le référentiel a bien été respecté jusque-là.
    Thierry Sardin — Chênaies continentales
  • Trois outils ont été développés par la jeune femme : un traitement des données Sentinel-2 pour prédire la surface terrière des peuplements ; un simulateur d‘évolution des peuplements de pin d’Alep selon différents scénarios sylvicoles ; et un classement visuel des bois ronds des pins d’Alep.
    Environnement. Vaucluse : elle remporte un prix national pour ses travaux sur la valorisation du pin d’Alep
  • Mais ce guide donne également des préconisations relatives aux peuplements momentanément minoritaires en chênes et pour lesquels le gestionnaire souhaite à terme, au moment de la récolte finale, une composition en surface terrière d’au moins les deux tiers de chênes. Cette modification de la composition peut être une évolution lente si le chêne est déjà présent.
    Thierry Sardin — Chênaies continentales
  • La surface terrière (notée g) d’un arbre correspond à la surface de la section transversale de cet arbre à hauteur d’homme. En clair, c’est la surface du tronc coupé à 1,30 m.
    CRPF Lorraine-Alsace — La surface terrière : une mesure très terre à terre
  • Le principe de renouvellement diffus est ainsi ramené au principe plus souple de la futaie continue, à l'échelle de l'unité de gestion : le peuplement conserve en permanence une surface terrière minimale de 6−8 m²/ha (tiges précomptables) ; durant sa révolution il ne passe jamais par le stade de gaulis ou perchis.
    Thierry Sardin — Chênaies continentales
  • Ces données de nombre de tiges et de surface terrière à l’hectare ne doivent pas être comprises comme la recherche de peuplements purs en chêne sessile, le mélange devant être toujours recherché dès lors qu’il peut être présent naturellement.
    Thierry Sardin — Chênaies continentales


Sources et ressources complémentaires

SOMMAIRE

Source : Google Books Ngram Viewer, application linguistique permettant d’observer l’évolution au fil du temps du nombre d'occurrences d’un ou de plusieurs mots dans les textes publiés.