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Toujours courir
[tuʒur kurir]
Définitions de « toujours courir »
Toujours courir - Locution verbale
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(Sens propre) Passer son temps à aller à droite à gauche.
« Toujours courir, c'est l'art d'être constamment sur le départ, sans jamais vraiment arriver. »
— (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle) -
(Figuré) Être toujours en liberté.
Éternellement en mouvement, insaisissable comme le vent.
— (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle) -
(Figuré) Expression qu’on utilise pour signifier à quelqu’un qu’on se moque de ce qu’il est en train de dire.
Devant ses promesses creuses, il est facile de simplement lui dire : 'tu peux toujours courir'.
— (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle)
Étymologie de « toujours courir »
Usage du mot « toujours courir »
Évolution historique de l’usage du mot « toujours courir » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « toujours courir » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « toujours courir »
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Un septuagénaire peut toujours courir après les femmes à condition de ne pas les attraper.
Anonyme -
La réflexion grecque, cette pensée aux deux visages, laisse presque toujours courir en contre-chant, derrière ses mélodies les plus désespérées, la parole éternelle d'Œdipe qui, aveugle et misérable, reconnaîtra que tout est bien.
Albert Camus — L'Homme révolté -
Quand une fille est sérieuse, tu peux toujours courir pour la sauter
Sartre — La Mort dans l'âme -
Dans le creux de cette famille nombreuse, le petit Paul, tardillon aux boucles blondes, semblait toujours courir après les autres, cherchant à rattraper le temps qui le séparait de ses frères et sœurs.
(Citation fictive) -
En médecine, ignorer les signes de la propathie c'est se condamner à toujours courir après la guérison sans jamais la rattraper.
Louis Charpentier — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle -
Mais Jules prenait un air ennuyé comme malgré lui, et Laurette, qui ne perdait rien de la situation, arborait un sourire signifiant : Tu peux toujours courir mon lapin désenligné !
Noël Audet — Quand la voile faseille