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Citations sur le XVIIe
Il y a 284 citations sur le XVIIe.
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Sans doute, en tant qu’écrivain, elle n’est pas inégalable et parfois la mendicité de son style secouru afflige, mais enfin, étant donné qu’elle vit au XVIIe siècle, elle n’est pas au moins une bredouilleuse de pâles oraisons, ainsi que la plupart des prosateurs pieux de ce temps.
Joris-Karl Huysmans — La Cathédrale -
Dans cette aile de la forteresse, où sont conservés plus de 120 kilomètres linéaires de documents produits depuis le XVIIe siècle par les administrations militaires, il espère trouver le « smoking gun », la preuve irréfutable.
Antoine Flandrin — Guerre de tranchée sur l’accès aux archives -
Au XVIIe siècle, les Frères de la côte incarnent l'alliance redoutable des flibustiers sur l'île de La Tortue, sous l'égide d'un gouverneur français.
(Citation fictive générée par l'intelligence artificielle) -
À partir du XVIIe siècle, des Chinois de dialecte hokkien ont colonisé Taiwan.
Jean Sellier — Histoire des langues et des peuples qui les parlent -
La cocatrix, que personne n’a jamais vue, est « née par accident à la fin du XIIe et est morte au milieu du XVIIe siècle, victime de la science ». Dans les œuvres modernes et en particulier le jeu de rôle, cocatrix et basilic sont dissociés, le basilic étant vu comme un reptile terrestre, la cocatrix plutôt comme un oiseau avec des ailes et une queue de dragon.
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Le développement des plantations de sucre, ainsi que celui de la traite négrière dans la seconde moitié du xviie siècle annoncèrent la fin de l’engagisme français.
Malcolm Ferdinand — L’Écologie décoloniale -
Exécutée vers 1650–1660, cette miniature subtile éclaire la génèse de l’école de Mandi, qui vit se développer, durant la première moitié du XVIIe siècle, un style mogholisant nettement distinct des œuvres ultérieures issues du mécénat de […]
Mària van Berge-Gerbaud — Hans Buijs -
Entre la tradition du peuple et l’art le plus raffiné inspiré des XVIe et XVIIe siècles avec Le retable de Maese Pedro, Falla illustre cette ville bruissante des brises matinales ou des rafales vespertines qui amènent les nues du large ; [...].
Andrée Mansau — « Cadix -
Remarquons que le choix des aniterges, au XVIIe siècle, ne semble pas avoir été le même sujet de plaisanteries qu’à la Renaissance.
Roger-Henri Guerrand — Les Lieux. Histoire des commodités -
... la plus ancienne secte russe actuellement existante, celle des Chlustes ou gens de Dieu (...) La légende et l'histoire sont d'accord pour faire naître la secte des gens de Dieu vers le milieu du XVIIe siècle, à l'époque troublée qui suivit, dans l'Eglise, la réforme de la liturgie introduite par le patriarche Nikone.
Robert Hertz — Mélanges de sociologie religieuse et folklore -
La maison fondée par M. Olier, en 1645, n’était pas la grande construction quadrangulaire, à l’aspect de caserne, qui forme maintenant un côté de la place Saint-Sulpice. L’ancien séminaire du XVIIe et du XVIIIe siècle couvrait toute l’étendue de la place actuelle et masquait complètement la façade de Servandoni. L’emplacement du séminaire d’aujourd’hui était occupé autrefois par les jardins et par le collège de boursiers qu’on appelait les robertins.
Ernest Renan — Souvenirs d’enfance et de jeunesse -
Remarquons aussi que la fiole n’a de forme que grâce au souffleur de verre et il est bien connu qu’il existe des relations étroites entre souffle et folie : le fou est un éventé, il a la tête pleine de vent et la fiole utilisée aux XVIe et XVIIe siècles était généralement un instrument ventru, semblable à notre cornue, image même de cette vacuité.
Visages de la folie : 1500-1650 — domaine hispano-italien : Colloque tenu à la Sorbonne les 8 et 9 mai 1980 -
Taillés maintenant dans des tissus façonnés — velours à ramages, satin moucheté, tabis, satin, velours et taffetas à fleurs — les derniers cotillons et les jupes sont toujours très colorés, [...] — (Françoise Lehoux, Le cadre de vie des médecins parisiens aux XVIe et XVIIe siècles, A. & J. Picard, Paris, 1976, page 274)
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Elle se caractérise d’abord par une connaissance plus ou moins approfondie de la langue et de la culture russes, car elle est issue de régions où le judaïsme semble avoir été d’abord slavophone avant d’être yidichisé au cours des XVIIe et XVIIIe siècles.
Michel Roblin — Juifs de Paris -
Au XVIIe siècle, le 'rubis de Bohême' désignait poétiquement le quartz rose, une dénomination désormais proscrite par la C.I.B.J.O.
(Citation fictive générée par l'intelligence artificielle) -
La tarte Bourdaloue exalte des qualités encore campagnardes ; elle est très XVIIe ; on l’imagine couronnant un repas paysan ou bourgeois, ou chez un chanoine plutôt que chez un grand seigneur.
François Nourissier — Les amants du Récamier : nouvelles et recettes: Nouvelles et recettes -
La musique baroque, avec sa richesse ornementale et ses contrastes dynamiques, traduit l'expression artistique foisonnante du XVIIe au milieu du XVIIIe siècle.
(Citation fictive générée par l'intelligence artificielle) -
Comme ils [les lions] abondent dans les décors profanes, dans les manuscrits enluminés, dans les textes littéraires, dans les armoiries : près de 15% des écus en sont ornés et l’adage fameux « Qui n’a pas d’armes porte un lion » apparu au XIIe dans les romans de chevalerie, est encore légitimement cité par les manuels de blason imprimés des XVIe et XVIIe siècles.’'
Michel Pastoureau — Bestiaires du Moyen Âge Chapitre 3 - Les quadrupèdes sauvages -
Sud-africain d’origine grecque, Étienne Kallos a découvert pendant ses études de théâtre au Cap l’État libre, l’une des provinces d’Afrique du Sud et l’un des principaux fiefs afrikaners nationalistes, ces descendants des premiers colons néerlandais installés dans la région au XVIIe siècle. Une partie de cette communauté très croyante vit dans des fermes fortifiées et dans la peur des meurtres, obsédée par sa survie en tant que minorité ethnique dans un pays à la population en majorité noire.
La Croix — « Les moissonneurs », au cœur d’un fief afrikaner -
Les fêtes royales commémorent des évènements familiaux (naissances, mariages) ou les succès militaires. Avec le progrès de l’absolutisme, l’évêque est le relais des décisions royales. Les consuls ont moins d’initiative mais jouent leur rôle dans l’organisation : pas de fête, sans processions et sans feux de joie (et les premiers feux d’artifice au XVIIe siècle). Ils animent la cité avec pavoisement et chandelles.
ladepeche.fr — La fête à Albi sous l’Ancien régime - ladepeche.fr