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Citations sur le XVIIIe

Il y a 570 citations sur le XVIIIe.

• Dans l'intimité des salons du XVIIIe siècle, les débats sur la science et le corps humain s'enflammaient parfois en dissertations étranges, au point où l'ædopsophie devenait sujet de curiosité autant que de gêne.

• Dans les salons dorés du XVIIIe siècle, l'amimétobie n'était pas un vice, mais le parfum même d'une époque révolue.

• Dans les salons du XVIIIe siècle, l'art d'ammignoner la parole n'était pas moins prisé que celui de manier l'éventail avec grâce.

• Le wahhabisme, mouvement initié au XVIIIe siècle par Muhammad ibn Abd al-Wahhab, prône un retour rigoureux aux origines de l'islam, cherchant à purifier la foi de toute innovation postérieure.

• Dans les salons parisiens du XVIIIe siècle, la pédication était abordée avec une liberté de ton qui choquerait nos mœurs contemporaines.

• Dans les veines profondes des montagnes andines, les mineurs du XVIIIe siècle extrayaient le zoroche, ce minerai d'argent aux reflets trompeurs, semblable au talc par sa douceur.

• En adoptant une méthodologie située à la croisée de l’histoire et de la criminologie, Josianne Paul a voulu comprendre comment, aux XVIIe et XVIIIe siècles, les habitants de Montréal et l’administration coloniale géraient les situations conflictuelles potentiellement criminalisables.

• La prose du XVIIIe siècle, si finement ciselée et amarivaudée, s'efface doucement devant la vigueur nouvelle des mots de notre époque.

• Dans les salons du XVIIIe siècle, le bavardin était à la fois craint et recherché; ses mots pouvaient élever un sourcil ou provoquer l'hilarité générale.

• Selon le stahlianisme, promu par Georg Ernst Stahl au XVIIIe siècle, c'est l'âme qui orchestre le ballet complexe de la santé et de la maladie, imprégnant chaque cellule de décisions vitales.

• L'esprit du XVIIIe siècle se respirait dans les querelles des piccinistes : un écho de la lutte sans fin entre tradition et innovation.

• Les jardiniers du XVIIIe siècle chérissaient les spigéliacées pour leur singularité botanique; aujourd'hui, elles ne sont plus qu'une note dans les marges des herbiers oubliés.

• Dans un texte datant du XVIIIe siècle, nous trouvons des références nancéiques qui témoignent d’un intérêt particulier pour les propriétés du lactique, composant alors central dans les études de fermentation.

• Dans la douceur d'un salon du XVIIIe siècle, le silveret se révèle sous les chandelles comme l'éclat discret de l'élégance.

• Le théotisme, cette étrange efflorescence de fervor spiritual à la fin du XVIIIe siècle, incarnait les derniers sursauts d'une mystique apocalyptique au cœur même de la Révolution française.

• Dans les cercles éclairés du XVIIIe siècle, le théotisme était souvent raillé, mais pourrait-on nier son influence sur certaines utopies modernes?

• Dans l'orchestre symphonique du XVIIIe siècle, la basse-turbe, cette variante de la clarinette aux trois octaves et demie, enchantait par sa profondeur et sa riche tonalité.

• Dans les salons feutrés du XVIIIe siècle, la basse-turbe résonnait avec une douceur qui s'entrelaçait aux conversations murmurées des philosophes.

• Dans les traités de chirurgie du XVIIIe siècle, le crinal est décrit comme un instrument délicat, essentiel à la maîtrise de la fistule lacrymale, dont l'usage requiert à la fois précision et finesse.

• L'arguation, cette joute verbale où chaque mot est pesé avec une précision d'orfèvre, s'éleva rapidement au rang d'art dans les salons du XVIIIe siècle.