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Citations sur le XVIIIe

Il y a 570 citations sur le XVIIIe.

• C’est Christian Sauvage, […], qui anime ce stage de vannerie. Les participants apprennent \\[u00e0\\] tresser pour créer, par exemple, des tontines. « Ces tontines sont apparues au XVIIIe siècle, explique une hôtesse \de la Maison du parc", aux visiteurs […]. Les grands explorateurs s’en servaient pour transporter des plantes exotiques jusqu’en Europe, l’osier permettait \de les protéger pendant le voyage.Ces tontines viennent aujourd’hui « égayer les jardins des particuliers et peuvent servir \de tuteurs aux plantes grimpantes ».

• Dans les salons parisiens du XVIIIe siècle, murmure-t-on, les tribades se livraient à leurs penchants avec une liberté qui choquerait les mœurs d'aujourd'hui.

• Dans l'oeuvre de Canaletto, maître du védutisme, chaque brique du Grand Canal de Venise semble avoir été peinte avec une précision d'orfèvre, offrant un témoignage visuel fidèle de la Sérénissime du XVIIIe siècle.

• Il [Jules-Romain Joyant] se révèle en revanche fervent et constant admirateur des védutistes italiens du XVIIIe siècle ; Pannini, Guardi et Canaletto, dont il possédait quelques œuvres.

• Citant ‚‘Aqîl al-Maqtarî, figure de l'association al-hikma et ancien étudiant à Dammâj, Bernard Haykel rappelle que la filiation établie entre le salafisme de Muqbil et le réformisme de Muhammad al-Shawkânî, juge du XVIIIe siècle au service d'imams zaydites ayant favorisé un certain processus de « sunnisation » du zaydisme, répond à une stratégie de « yéménisation »

• Cette existence, si laborieuse et si monotone, du marcaire vosgien, au début du XVIIIe siècle, était cependant moins pénible que celle de ses émules de certaines régions des Alpes.

• Dans les récits de marins du XVIIIe siècle, la baraquette est souvent mentionnée comme un élément essentiel du gréement, facilitant la manipulation des voiles sur les galions chargés d'explorer et de commercer à travers les océans inconnus.

• Découverte au XVIIIe siècle, la zéolithe, ou zéolite selon une variante orthographique moins courante, reste primordiale dans les industries modernes, particulièrement pour ses propriétés de filtration et d'absorption.

• La pinchina, toile de laine robuste et dense, a habillé les travailleurs de Toulon avant de conquérir les contrées de Champagne et du Berry, témoignant ainsi de l'expansion industrielle française du textile au XVIIIe siècle.

• Les ligoristes, héritiers de l'œuvre éducative et religieuse initiée par Saint Alphonse de Liguori au XVIIIe siècle à Naples, continuent de jouer un rôle crucial dans le renforcement de l'instruction et la diffusion des valeurs chrétiennes à travers le monde.

• Sur le seuil de sa chambre, dans le couloir désert, je lui baisai la main et fis mine de m’éloigner. Elle me regarda avec la jolie moue de reproche que les marquisettes du XVIIIe siècle dédiaient aux cages ouvertes :« Oh !… Une dernière cigarette ?… Venez… » — Maurice Dekobra, La Madone des sleepings

• Selon Étienne Louis Geoffroy dans ses travaux entomologiques du XVIIIe siècle, la sylvie, ou libellule cancellée, captait déjà la fascination des scientifiques par ses motifs complexes et sa capacité de vol incomparable.

• Dans les salons du XVIIIe siècle, il était monnaie courante de s'enjalouser pour des faveurs royales, mais rarement pour l'affection sincère.

• Dans l'atelier aux murs tapissés d'instruments anciens, la lumière tamisée révélait les reflets ambroïdes des vernis d'un violon du XVIIIe siècle.

• La mélancolie des médecins du XVIIIe siècle face aux maladies incurables se lit dans leurs yeux quand ils évoquent la cynancie, cet ultime combat où même la langue refuse de se soumettre.

• Le mythe du complot juif mondial s'inscrit assurément dans une série historique de « mégacomplots » ou complots mondiaux, qui commence avec l'invention, au début du XVIIe siècle, du complot jésuite, et se poursuit au cours du XVIIIe siècle, par celle du complot maçonnique, qui se métamorphosera en un complot judéo-maçonnique au XIXe siècle.

• Le marchand d'art dévoila avec une fierté non dissimulée le faudesteuil du XVIIIe siècle, vestige d'une époque où l'artisanat flirtait avec l'œuvre d'art.

• Dans les salons littéraires du XVIIIe siècle, philosopher orthodoxement était synonyme d'ennui mortel pour les esprits éclairés.

• Le style néo-gothique, surgissant au cœur du XVIIIe siècle en Angleterre, revisite avec passion les voûtes et les arches médiévales, incarnant une quête romantique d'un passé idéalisé, particulièrement prisé durant le XIXe siècle.

• Dans les salons parisiens du XVIIIe siècle, nos cercles intellectuels savaient se recruter parmi l'élite des esprits éclairés, sans distinction de rang ou de sexe.