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Citations sur le XVIIe

Il y a 398 citations sur le XVIIe.

• La tarte Bourdaloue exalte des qualités encore campagnardes ; elle est très XVIIe ; on l’imagine couronnant un repas paysan ou bourgeois, ou chez un chanoine plutôt que chez un grand seigneur.

• La musique baroque, avec sa richesse ornementale et ses contrastes dynamiques, traduit l'expression artistique foisonnante du XVIIe au milieu du XVIIIe siècle.

• Au XVIIe siècle, les Frères de la côte incarnent l'alliance redoutable des flibustiers sur l'île de La Tortue, sous l'égide d'un gouverneur français.

• Dans les salons feutrés du XVIIe siècle, le rubis de Silésie ornait bien des parures, trompant ainsi l'œil non averti de sa fausse noblesse.

• Comme ils [les lions] abondent dans les décors profanes, dans les manuscrits enluminés, dans les textes littéraires, dans les armoiries : près de 15% des écus en sont ornés et l’adage fameux « Qui n’a pas d’armes porte un lion » apparu au XIIe dans les romans de chevalerie, est encore légitimement cité par les manuels de blason imprimés des XVIe et XVIIe siècles.’'

• Dans cette aile de la forteresse, où sont conservés plus de 120 kilomètres linéaires de documents produits depuis le XVIIe siècle par les administrations militaires, il espère trouver le « smoking gun », la preuve irréfutable.

• Sans doute, en tant qu’écrivain, elle n’est pas inégalable et parfois la mendicité de son style secouru afflige, mais enfin, étant donné qu’elle vit au XVIIe siècle, elle n’est pas au moins une bredouilleuse de pâles oraisons, ainsi que la plupart des prosateurs pieux de ce temps.

• Les débats coccéiens du XVIIe siècle résonnent encore aujourd'hui dans les cercles académiques, témoignant d'une approche unique de l'exégèse biblique.

• Remarquons que le choix des aniterges, au XVIIe siècle, ne semble pas avoir été le même sujet de plaisanteries qu’à la Renaissance.

• ... la plus ancienne secte russe actuellement existante, celle des Chlustes ou gens de Dieu (...) La légende et l'histoire sont d'accord pour faire naître la secte des gens de Dieu vers le milieu du XVIIe siècle, à l'époque troublée qui suivit, dans l'Eglise, la réforme de la liturgie introduite par le patriarche Nikone.

• Exécutée vers 1650–1660, cette miniature subtile éclaire la génèse de l’école de Mandi, qui vit se développer, durant la première moitié du XVIIe siècle, un style mogholisant nettement distinct des œuvres ultérieures issues du mécénat de […]

• « Au cœur des intrigues italiennes du XVIIe siècle, la toffana se révélait l'arme silencieuse des complots meurtriers. »

• Le pouvoir de la toffana n'était pas seulement dans son poison, mais dans la peur qu'elle inspirait aux courtisans du XVIIe siècle.

• Entre la tradition du peuple et l’art le plus raffiné inspiré des XVIe et XVIIe siècles avec Le retable de Maese Pedro, Falla illustre cette ville bruissante des brises matinales ou des rafales vespertines qui amènent les nues du large ; [...].

• Au XVIIe siècle, le 'rubis de Bohême' désignait poétiquement le quartz rose, une dénomination désormais proscrite par la C.I.B.J.O.

• Le ménagiana est une fenêtre sur l'esprit du XVIIe siècle, une compilation où chaque mot résonne comme un écho des salons intellectuels de Gilles Ménage.

• Remarquons aussi que la fiole n’a de forme que grâce au souffleur de verre et il est bien connu qu’il existe des relations étroites entre souffle et folie : le fou est un éventé, il a la tête pleine de vent et la fiole utilisée aux XVIe et XVIIe siècles était généralement un instrument ventru, semblable à notre cornue, image même de cette vacuité.

• La maison fondée par M. Olier, en 1645, n’était pas la grande construction quadrangulaire, à l’aspect de caserne, qui forme maintenant un côté de la place Saint-Sulpice. L’ancien séminaire du XVIIe et du XVIIIe siècle couvrait toute l’étendue de la place actuelle et masquait complètement la façade de Servandoni. L’emplacement du séminaire d’aujourd’hui était occupé autrefois par les jardins et par le collège de boursiers qu’on appelait les robertins.

• Taillés maintenant dans des tissus façonnés — velours à ramages, satin moucheté, tabis, satin, velours et taffetas à fleurs — les derniers cotillons et les jupes sont toujours très colorés, [...] — (Françoise Lehoux, Le cadre de vie des médecins parisiens aux XVIe et XVIIe siècles, A. & J. Picard, Paris, 1976, page 274)

• Elle se caractérise d’abord par une connaissance plus ou moins approfondie de la langue et de la culture russes, car elle est issue de régions où le judaïsme semble avoir été d’abord slavophone avant d’être yidichisé au cours des XVIIe et XVIIIe siècles.