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Citations sur le XVIIe

Il y a 398 citations sur le XVIIe.

• le microcèbe, le plus petit des lémuriens, fut dans un premier temps rattaché à la famille des rongeurs par le gouverneur Flacourt au XVIIe siècle.

• Mais si cette ouverture d’esprit perdure par la suite, il n’en demeure pas moins que le genre des shunga ou des makura-e est né, lui, au plus tôt à la fin du XVIIe siècle pour atteindre son apogée au cours du XVIIIe siècle, et qu’il représente un des plus beaux fleurons de l’ukiyo-e, ces « images du monde flottant » ou éphémère.

• Dans les salons parisiens, les conversations s'enflammaient, opposant mazariniste à frondeur avec une véhémence qui reflétait la fracture de la France du XVIIe siècle.

• « Le gorgotoqui, éteint au XVIIe siècle, résonne comme une voix perdue de la Bolivie ancestrale. »

• La figure de Madeleine occupe dans les œuvres poétiques et romanesques composées par des femmes pendant le xviie siècle une place privilégiée liée à la dévotion inspirée par la sainte pécheresse. Certains livres à tendances plus « féministes » en font même une « Apôtresse » égale aux Apôtres et même capable de leur en remontrer dans la transmission du message de la Résurrection.

• L'hypospathisme du XVIIe siècle, bien que reconnu pour sa brutalité, a marqué un tournant audacieux dans les pratiques chirurgicales de l'époque.

• Mais si cette ouverture d’esprit perdure par la suite, il n’en demeure pas moins que le genre des shunga ou des makura-e est né, lui, au plus tôt à la fin du XVIIe siècle pour atteindre son apogée au cours du XVIIIe siècle, et qu’il représente un des plus beau fleurons de l’ukiyo-e, ces « images du monde flottant » ou éphémère.

• Le théâtre de Lorraine, dans ses pièces du XVIIe siècle, faisait souvent écho au son clair d'une giffe portée en plein acte II, déclenchant invariablement rires et commérages.

• En 1953, Jean Rousset distinguait déjà du véritable baroque, situé au xviie siècle, un pré-baroque allant de 1580 à 1600 et dominé par « deux forces »: la hantise de la mort et la présence de Montaigne.

• Mais si cette ouverture d’esprit perdure par la suite, il n’en demeure pas moins que le genre des shunga ou des makura-e est né, lui, au plus tôt à la fin du XVIIe siècle pour atteindre son apogée au cours du XVIIIe siècle, et qu’il représente un des plus beaux fleurons de l’ukiyo-e, ces « images du monde flottant » ou éphémère.

• « Jadis, la guilandine, cette plante appartenant au genre Guilandina de la famille des Fabaceae, faisait partie intégrante des herbiers des botanistes du XVIIe siècle. »

• L'influence du quenelisme sur la pensée théologique du XVIIe siècle ne peut être sous-estimée, car il a posé les jalons d'une réflexion critique sur la grâce divine.

• Le ryder, frappé en argent en Hollande au XVIIe siècle, illustre l'opulence monétaire de l'époque, rivalisant avec le célèbre ducaton.

• Ensuite, pichets et cruches, jattes de grès, deviennent les principales productions des XVIe et XVIIe siècles avec les pots à beurre ou à miel, les bouteilles, les poêlons, puis les faisselles, et les couloirs à lait ; enfin les mahons et les sinots s’ajoutent au catalogue.

• « Les calvaristes, fervents missionnaires du XVIIe siècle, ont œuvré sans relâche pour ramener les âmes béarnaises dans le giron catholique. »

• Les marchés du XVIIe siècle, animés par les mesureurs et placéyeurs, étaient le cœur battant de l'économie locale.

• Puis, dans les stades de la technique qui font changer les outils d’échelle sur la chaine d’organisation, il y a des cycles de « dénoétisation », des cycles qui ont une phase descendante (le poison du « pharmakon » chez Stiegler : par exemple les sophistes au temps de l’agora, les libellistes qui rendent urticant le monde éditorial du XVIIe siècle, les trolls qui rendent urticant le raisin du web, vendangé comme on peut).

• Mais dès le XVIIe s. ; la philosophie de la conquête qu’exprimait Descartes s’applique non seulement aux hommes, mais encore à la nature. Cannibale par la destruction des vies humaines, elle est cosmophage par la destruction de la nature.

• Ce volume en langue arabe de la fin du XVIIe siècle est un Euchologion, le livre de prières et de rituels du rite byzantin.

• M. Soulary est un Italien. […] Ses aïeux littéraires sont les poètes de la Pléiade, les précieux du XVIIe siècle et les concettistes italiens, Guarini ou le Tasse de l’“Aminta”. […] Bref, et pour ne retenir que ses traits essentiels, M. Soulary est un concettiste et un provincial. — (Jules Lemaître, Les contemporains — Études et portraits littéraires, troisième série, Joséphin Soulary, IV ; Lecène, Oudin et Cie éditeurs, Paris, 1894, page 186.)