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Citations sur le XVIIIe

Il y a 570 citations sur le XVIIIe.

• Second argument, structurel : comme nous l’avons déjà vu, si la ville seule achève de « plébéianiser », c’est-à-dire de rendre juridiquement affranchi dans des sociétés rurales d’Ancien Régime colonial, il n’empêche que dès le XVIIIe siècle la multiplication des petits blancs et métis échappant dans les campagnes aux contraintes personnalisées et survivant d’activités d’intermédiation instables et mal définies (« plébéiennes », en somme) finit par créer une masse de libres ruraux dispersée, certes, mais en définitive supérieure en nombre à ses homologues urbains.

• Le mishellénisme latent chez certains intellectuels du XVIIIe siècle s'exprime non seulement par des critiques acerbes mais aussi par une volonté délibérée de réécrire l'histoire antique sous un prisme négatif.

• "Serpentiste d’Église : une profession au XVIIIe siècle"

• Son style, bien que moderne, n'est pas sans rappeler le crébillonnage des récits galants du XVIIIe siècle.

• Le je-ne-baise-plus, élégant et raffiné, était un accessoire incontournable des soirées mondaines du XVIIIe siècle.

• Dans une chronique du XVIIIe siècle, on lit : « L'art de rafiner le sucre est un métier exigeant qui requiert minutie et persévérance. »

• L'emplâtre vessicatoire, bien que désuet aujourd'hui, représentait une avancée notable dans le traitement des affections cutanées au XVIIIe siècle.

• Dans les salons parisiens du XVIIIe siècle, le coquettisme était souvent perçu comme un jeu léger mais dangereux, capable de briser des cœurs et des réputations.

• Le jannequin, bien qu'il fût de faible qualité, représentait une part essentielle du commerce entre le Levant et nos contrées au XVIIIe siècle.

• Les explorateurs du XVIIIe siècle furent émerveillés par la beauté de l'abou-hannès, qu'ils décrivirent comme un trésor ornithologique inestimable.

• Dans le crépuscule du XVIIIe siècle, la vasquine était bien plus qu'un simple vêtement ; elle symbolisait l'élégance douloureuse des femmes de cour.

• Il s’agit, à travers la proclamation universaliste de sa formation, de rien moins que d’une nouvelle définition de la manière que les hommes du XVIIIe siècle doivent maintenant avoir de vivre ensemble, dans le cadre contractuel (donc déliable car fondé sur l’existence d’un consensus interne et non d’une attribution divine) du gouvernement des hommes, par les hommes et pour les hommes.

• Ainsi, à partir de leurs retraites, replis et cachettes, les communautés marronnes pouvaient recréer leurs propres cultures, « néo-africaines » sur fond de convocation des traditions, coutumes et croyances ancestrales qu’elles réajusteront et adapteront par la suite, en fonction des nécessités et exigences de leur nouvel environnement. Cependant, plus qu’une fusion, il faudrait plutôt analyser ces cultures « néo-africaines » du Nouveau Monde comme des juxtapositions de diverses cultures, qui puiseraient leurs ressorts et leur dynamisme dans le tréfonds des civilisations africaines des XVIIe et XVIIIe siècles.

• Plusieurs de ces appellatifs sont en rapport avec les techniques de chasse autrefois utilisées. La louvière se rencontre dix-neuf fois. À quoi correspondait ce terme ? La louvière est tout simplement une fosse dans laquelle on prenait les bêtes. Au début du XVIIIe siècle, le duc de Lorraine Léopold ordonna le rétablissement des anciennes louvières, abandonnées au cours de la période précédente, très bouleversée. Mieux, il exigea le creusement de nouvelles louvières ; il devait à en avoir deux par village, une à chaque extrémité.

• Être inoculiste au XVIIIe siècle, c'était épouser une cause qui mêlait espoir et controverse dans un monde réticent au changement.

• Son vignoble doit sa renommée à un rare cépage, le klevener, cousin du gewurztraminer, introduit au XVIIIe siècle en provenance d’Italie du Nord.

• Dans les salons feutrés du XVIIIe siècle, être une vidamesse signifiait plus qu'un titre ; c'était un rôle complexe naviguant entre pouvoir et devoir.

• En 1976, Maurice Roelens traçait déjà la voie à ce type de valorisation en consacrant au dialogue diderotien une section complète dans son histoire du genre au XVIIIe siècle, comme si son point d’aboutissement se trouvait dans l’œuvre de l’auteur du Neveu de Rameau.

• Elle se caractérise d’abord par une connaissance plus ou moins approfondie de la langue et de la culture russes, car elle est issue de régions où le judaïsme semble avoir été d’abord slavophone avant d’être yidichisé au cours des XVIIe et XVIIIe siècles.

• Dans le murmure des salons cubains de la fin du XVIIIe siècle, la contradanza s'impose comme un dialogue entre tradition et nouveauté, alliant l'élégance européenne aux rythmes créoles.