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Entendu
Définitions de « entendu »
Entendu - Adjectif
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(Vieilli) Qui possède une expertise ou une compétence particulière dans un domaine.
La mère Grillon, une brave femme, entendue au commerce, appelait le jeune homme et sa compagne : « ses deux tourtereaux », et semblait tout attendrie par cet amour avantageux pour sa maison.
— Guy de Maupassant, La femme de Paul -
Bien compris ou partagé tacitement ; complice.
Radom et Pelat, d'un seul mouvement, lui emboîtèrent le pas, gardant le silence et se regardant de côté, d'un air entendu.
— Daniel Boulanger, Le chemin des caracoles -
(Figuré) Conçu ou décidé après réflexion ; organisé.
Même si certains médias et organismes de recherche font, à intervalles réguliers, semblant de le découvrir pour attiser la curiosité du public, l’affaire est entendue depuis longtemps : de l’eau a coulé jadis sur Mars en abondance.
— Pierre Barthélémy, Mars pourrait avoir abrité un grand océan circumpolaire
Entendu - Interjection
-
Acceptation ou accord donné à une proposition, souvent utilisé pour signifier consentement ou engagement.
Tout était dit, et l'accord, clairement entendu, scellait leur destinée commune.
— (Citation fictive)
Entendu - Nom commun
-
(Ironique) Individu se percevant comme compétent et important, souvent avec un excès de suffisance.
« L'entendu, c'est celui qui croit que son ombre pèse plus lourd sous le soleil. »
— (Citation fictive)
Expressions liées
- Appartement bien entendu, fête bien entendue
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Bien entendu (compris comme il faut.)
Jmonte donc, jpaye ma place comme de bien entendu
— Raymond Queneau, Exercices de style (Vulgaire) -
Bien entendu que
Il est bien entendu que dessous … c'est le vide. (A la limite de s'encorder tout de même : ça épouaire !
— site clublagaf.blogspot.com, août 2015 -
C'est entendu
− Alors c'est entendu pour samedi... ça ne va plus faire que trois jours
— Charles-Ferdinand Ramuz, Derborence -
Cause entendue (affaire réglée, sur laquelle il n'y a pas à revenir.)
Il se mit à rire, avec bonhomie; puis, estimant sans doute la cause entendue, il tira son étui à cigarettes
— Martin du Gard, Thibaut, Été 14 - Ce qu'il faut entendre, qu'est-ce qu'il faut pas entendre
- Cela s'entend (que cela soit bien entendu, cela va de soi.)
- Clin d'œil entendu
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Comme de bien entendu
Jmonte donc, jpaye ma place comme de bien entendu
— Raymond Queneau, Exercices de style (Vulgaire) - Croire entendre encore
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De bien entendu
Jmonte donc, jpaye ma place comme de bien entendu
— Raymond Queneau, Exercices de style (Vulgaire) - Dieu vous entende, que le ciel vous entende
- Dire à qui veut l'entendre
- Empêcher d'entendre
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En entendre (essuyer des reproches.)
Mais je suis un infirme aussi, de ces mauvais qui ont leur idée et qui ne veulent rien entendre
— Claudel, Otage - En entendre d'autres
- En entendre de vertes et de pas mûres
- Entendre ce que parler veut dire (comprendre la signification d'une chose dite à mots couverts.)
-
Entendre des cloches (avoir la tête qui bourdonne.)
De prêter comme ça l'oreille lui faisait entendre des cloches
— Triolet, Premier accroc -
Entendre des voix
C’est une sorte de petite scène, où la déclamation doit un peu venir en aide au chant. Il s’y trouve un pianissimo, seize mesures environ, qui vous laissent sous une impression indéfinissable; il semble entendre des voix mystérieuses, quelque chose de doux comme le murmure du vent dans les bois : ce sont les voix des fées qui chuchotent entre elles.
— Journal des demoiselles, 1864 - Entendre dire quelque chose
- Entendre exactement, juste
- Entendre l'architecture, entendre les affaires
- Entendre la confession de quelqu'un
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Entendre la messe (assister à sa célébration.)
Durtal s’installa pour entendre la messe que l’on sonnait ; il avait beau la connaître par cœur, cette messe ne parvenait pas à le déravir.
— Joris-Karl Huysmans, 'L’Oblat' - Entendre la plaisanterie, entendre raillerie (savoir accepter une plaisanterie, une raillerie quand on en est l'objet.)
- Entendre la vie d'une certaine façon
- Entendre la voix de la raison, entendre raison (prêter attention à des conseils judicieux, avoir un comportement dicté par la raison.)
- Entendre mal, entendre dur (être un peu sourd.)
- Entendre ou n'entendre pas la devise (se laisser ou non conter fleurette.)
- Entendre par là que
- Entendre parler de quelqu'un, de quelque chose (avoir des nouvelles de quelqu'un, être informé de quelque chose.)
- Entendre pousser l'herbe, entendre son âme
- Entendre quelqu'un en confession
- Entendre quelqu'un jouer, parler
- Entendre quelqu'un venir avec ses gros sabots
- Entendre quelqu'un à demi-mot (comprendre ce que quelqu'un veut dire sans qu'il se soit entièrement expliqué.)
- Entendre quelque chose au premier mot (comprendre dès la première explication.)
- Entendre quelque chose de la bouche de quelqu'un
- Entendre quelque chose de ses propres oreilles
- Entendre un bruit, n'entendre aucun bruit
- Entendre un cri
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Entendre voler une mouche
Dans l’église Saint-Nom-de-Marie, où la rencontre a eu lieu, on aurait pu entendre voler une mouche lorsque Ksenia Tsypina a démystifié bien des pans des attentes concernant l’accueil de la quinzaine de citoyens ukrainiens qui espèrent s’établir dans le coin.
— Le Manic, Arrivée d'Ukrainiens : des gens lèvent la main pour aider - Le Manic - Faire agir comme on l'entend (faire agir comme on le juge à propos.)
- Faire entendre un son, un cri, un rire (faire en sorte qu'on l'entende.)
- Faire l'entendu, son entendu (jouer au connaisseur, faire l'important.)
- Habillage, toilette bien entendu
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Il faut l'entendre
Si tu veux comprendre le mot de bonheur, il faut l'entendre comme récompense et non comme but.
— Antoine de Saint-Exupéry, Citadelle, Gallimard - Il faut s'entendre
- Il me semble entendre encore
- Il n'y a point de pire sourd que celui qui ne veut pas entendre
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Il vaut mieux entendre ça que d'être sourd
Lorsque Paul a affirmé que le soleil tourne autour de la Terre, je me suis dit : il vaut mieux entendre ça que d'être sourd.
— Marc Lemaitre, Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle -
J'entends par là
... un artiste consommé dans le bel art de faire des vers à l'état pur. Je dis : Faire des vers à l'état pur, et j'entends par là qu'il n'y a de lui dans l'œuvre dont je parle, exactement que la façon de la forme.
— Valéry, Variété V -
Je m'entends
− Pour vivre! interrompit Marius. Vous n'avez pas besoin de ce nom pour vivre? − Ah! je m'entends, répondit Jean Valjean
— Victor Hugo, Les Misérables -
Je vous entends bien (je comprends ce que vous voulez dire.)
Oui, oui, je vous entends bien vous qui me dites que, sous l'influence très approuvable des idées sportives, la jeunesse (…) s'adonne moins qu'autrefois à l'usage des boissons fortes.
— Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité - Le conseil entendu
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Mal entendu (mal compris, pratiqué mal à propos.)
J'ai du coton dans les oreilles, j'ai peut-être mal entendu, répète ce que tu as dit
— Victor Hugo, Les Travailleurs de la mer - N'avoir jamais rien entendu de pareil, d'aussi drôle
- N'entendre un traître mot de quelque chose (ne pas comprendre un mot de quelque chose.)
- Ne pas avoir bien entendu, avoir entendu de travers
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Ne pas entendre (être sourd.)
Faisant un vacarme à ne pas entendre Dieu tonner
— Mérimée, Carmen - Ne pas entendre de cette oreille (feindre d'ignorer une demande, agir à l'encontre de ce qui est souhaité.)
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Ne pas entendre dieu tonner
Faisant un vacarme à ne pas entendre Dieu tonner
— Mérimée, Carmen - Ne pas entendre finesse ou malice à quelque chose (faire ou dire quelque chose sans mauvaise intention.)
- Ne pas entendre raillerie sur quelque chose (ne pas admettre que l'on prenne quelque chose à la légère.)
- Ne pas l'entendre ainsi (avoir sur un point donné une volonté différente de celle d'autrui.)
- Ne pas vouloir en entendre parler (rejeter quelque chose sans même l'examiner.)
- Ne savoir auquel entendre (avoir affaire à plusieurs personnes à la fois et éprouver quelque embarras à les satisfaire.)
- Ne vouloir entendre à rien
- Ne vouloir rien entendre
- On n'entend que quelqu'un (c'est toujours la même personne qui parle.)
- On ne s'entend pas (Le bruit empêche ceux qui veulent converser d'entendre mutuellement leurs paroles.)
- Prendre son air entendu
- Principes, scrupules mal entendus
- Prosélytisme mal entendu
- Pudeur, vertu mal entendue
- Pénible à entendre
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Qui n'entend qu'une cloche n'entend qu'un son (une opinion qui ne se fonde que sur une seule version des faits est sujette à caution)
Dans les débats de la vie, qui n'entend qu'une cloche n'entend qu'un son et se prive ainsi de la richesse des perspectives opposées.
— Jean Dupont, Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle - Regards discrets et entendus
- S'entendre aux affaires
- S'entendre avec les ennemis
- S'entendre comme chien et chat (ne pas vivre en bonne intelligence.)
- S'entendre comme larrons en foire
- S'entendre à l'amiable
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Se faire entendre
Mais que ce terrain est brûlant! Qu'il est difficile de se faire entendre entièrement!
— Barrès, Cahiers - Si quelqu'un vous entendait
- Un air malin et entendu
- Une cause est entendue (une cause est jugée.)
- Vous entendez, entendez-vous, vous entendez bien
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À l'entendre (si on l'en croit.)
La semaine ne pouvait, à l'entendre, se passer sans que nous allions à Doncières
— Proust, À la recherche du temps perdu: Le côté de Guermantes
Usage du mot « entendu »
Évolution historique de l’usage du mot « entendu » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « entendu » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Antonymes de « entendu »
Citations contenant le mot « entendu »
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Comment obtenir la béatitude ? En disant Dada. Comment devenir célèbre ? En disant Dada. D’un geste noble et avec des manières raffinées. Jusqu’à la folie. Jusqu’à l’évanouissement. Comment en finir avec tout ce qui est journalisticaille, anguille, tout ce qui est gentil et propret, borné, vermoulu de morale, européanisé, énervé ? En disant Dada. Dada c’est l’âme du monde, Dada c’est le grand truc. Dada c’est le meilleur savon au lait de lys du monde. Dada Monsieur Rubiner, Dada Monsieur Korrodi, Dada Monsieur Anastasius Lilienstein. Cela veut dire en allemand : l’hospitalité de la Suisse est infiniment appréciable. Et en esthétique, ce qui compte, c’est la qualité. Je lis des vers qui n’ont d’autre but que de renoncer au langage conventionnel, de s’en défaire. Dada Johann Fuchsgang Goethe. Dada Stendhal, Dada Dalaï-lama, Bouddha, Bible et Nietzsche. Dada m’Dada. Dada mhm Dada da. Ce qui importe, c’est la liaison et que, tout d’abord, elle soit quelque peu interrompue.Je ne veux pas de mots inventés par quelqu’un d’autre. Tous les mots ont été inventés par les autres. Je revendique mes propres bêtises, mon propre rythme et des voyelles et des consonnes qui vont avec, qui y correspondent, qui soient les miens. Si une vibration mesure sept aunes, je veux, bien entendu, des mots qui mesurent sept aunes. Les mots de Monsieur Dupont ne mesurent que deux centimètres et demi. On voit alors parfaitement bien comment se produit le langage articulé. Je laisse galipetter les voyelles, je laisse tout simplement tomber les sons, à peu près comme miaule un chat… Des mots surgissent, des épaules de mots, des jambes, des bras, des mains de mots. AU. OI. U. Il ne faut pas laisser venir trop de mots. Un vers c’est l’occasion de se défaire de toute la saleté. Je voulais laisser tomber le langage lui-même, ce sacré langage, tout souillé, comme les pièces de monnaie usées par des marchands. Je veux le mot là où il s’arrête et là où il commence. Dada, c’est le coeur des mots. Toute chose a son mot, mais le mot est devenu une chose en soi. Pourquoi ne le trouverais-je pas, moi ? Pourquoi l’arbre ne pourrait-il pas s’appeler Plouplouche et Plouploubache quand il a plu ? Le mot, le mot, le mot à l’extérieur de votre sphère, de votre air méphitique, de cette ridicule impuissance, de votre sidérante satisfaction de vous-mêmes. Loin de tout ce radotage répétitif, de votre évidente stupidité.Le mot, messieurs, le mot est une affaire publique de tout premier ordre.
Hugo Ball — Manifeste littéraire -
[…] ce petit ouvrage permet à tout un chacun de composer à volonté cent mille milliards de sonnets, tous réguliers bien entendu. C’est somme toute une sorte de machine à fabriquer des poèmes, mais en nombre limité ; il est vrai que ce nombre, quoique limité, fournit de la lecture pour près de deux cents millions d’années (en lisant vingt-quatre heures sur vingt-quatre).
Raymond Queneau — Cent mille milliards de poèmes -
Tu es sur le point de commencer le nouveau roman d’Italo Calvino, Si une nuit d’hiver un voyageur. Détends-toi. Recueille-toi. Chasse toute autre pensée de ton esprit. Laisse le monde qui t’entoure s’estomper dans le vague. Il vaut mieux fermer la porte ; là-bas la télévision est toujours allumée. Dis-le tout de suite aux autres : « Non, non, je ne veux pas regarder la télévision. » Lève la voix, sinon ils ne t’entendront pas : « Je suis en train de lire ! Je ne veux pas être dérangé. » Il se peut qu’ils ne t’aient pas entendu avec tout ce bazar ; dis-le à haute voix, crie : « Je vais commencer le nouveau roman d’Italo Calvino ! » Ou si tu ne veux pas, ne le dis pas ; espérons qu’ils te laissent tranquille.
Italo Calvino — Si une nuit d’hiver un voyageur -
[…] L’œuvre littéraire de Zola est immense. Vous venez d’entendre le président de la Société des gens de lettres en définir le caractère avec une admirable précision. Vous avez entendu le ministre de l’Instruction publique en développer éloquemment le sens intellectuel et moral. Permettez qu’à mon tour je la considère un moment devant vous.Messieurs, lorsqu’on la voyait s’élever pierre par pierre, cette œuvre, on en mesurait la grandeur avec surprise. On admirait, on s’étonnait, on louait, on blâmait. Louanges et blâmes étaient poussés avec une égale véhémence. On fit parfois au puissant écrivain (je le sais par moi-même) des reproches sincères, et pourtant injustes. Les invectives et les apologies s’entremêlaient. Et l’œuvre allait grandissant.Aujourd’hui qu’on en découvre dans son entier la forme colossale, on reconnaît aussi l’esprit dont elle est pleine. C’est un esprit de bonté. Zola était bon. Il avait la grandeur et la simplicité des grandes âmes. Il était profondément moral. Il a peint le vice d’une main rude et vertueuse. Son pessimisme apparent, une sombre humeur répandue sur plus d’une de ses pages cachent mal un optimisme réel, une foi obstinée au progrès de l’intelligence et de la justice. […]
Anatole France — Éloge funèbre d’Émile Zola -
Je crois que vous l'avez un jour entendu de ma bouche, mais, cependant, je vous le redirai. Ma mère m'ayant suivi à Milan, y trouva que l'Église n'y jeûnait pas le samedi; elle se troublait et ne savait pas ce qu'elle devait faire; je me souciais alors fort peu de ces choses; mais, à cause de ma mère, je consultai là-dessus Ambroise, cet homme de très-heureuse mémoire; il me répondit qu'il ne pouvait rien conseiller de meilleur que ce qu'il pratiquait lui-même, et que s'il savait quelque chose de mieux il l'observerait. Je croyais que, sans nous donner aucune raison, il nous avertissait seulement, de sa seule autorité, de ne pas jeûner le samedi, mais, reprenant la parole, il me dit : « Quand je suis à Rome, je jeûne le samedi; quand je suis ici, je ne jeûne pas ce jour-là. Faites de même; suivez l'usage de l'Église où vous vous trouvez, si vous ne voulez pas scandaliser ni être scandalisé. » Lorsque j'eus rapporté à ma mère cette réponse, elle s'y rendit sans difficulté. Depuis ce temps, j'ai souvent repassé cette règle de conduite, et je m'y suis toujours attaché comme si je l'avais reçue d'un oracle du ciel.
Lettres de Saint Augustin traduites en français par M. Poujoulat — Paris -
Dès qu'il la voit partie, il contrefait son ton,Et d'une voix papelardeIl demande qu'on ouvre en disant : « Foin du loup ! »Et croyant entrer tout d'un coup.Le biquet soupçonneux par la fente regarde :« Montrez-moi patte blanche, ou je n'ouvrirai point, »S'écria-t-il d'abord. (Patte blanche est un pointChez les loups, comme on sait, rarement en usage.)Celui-ci, fort surpris d'entendre ce langage,Comme il était venu s'en retourna chez soi.Où serait le biquet s'il eût ajouté foiAu mot du guet, que de fortuneNotre loup avait entendu ?Deux sûretés valent mieux qu'une,Et le trop en cela ne fut jamais perdu.
Jean de la Fontaine — Fables -
ll savait fort bien que Cardinaud avait fait bâtir une maison et avait signé des traites pour plusieurs années. Il était même venu à la pendaison de crémaillère. J'ai pensé que vous pourriez me prêter trois mille francs que, bien entendu, je vous rendrai en très peu de temps.
Georges Simenon — Le Fils Cardinaud -
Je peux la loger chez moi dans toutes les conditions de confort et de moralité nécessaires ! et elle n'aura bien entendu aucuns frais pendant tout son séjour à Paris.
Roger Vailland — Lettres à sa famille
Traductions du mot « entendu »
Langue | Traduction |
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Anglais | heard |
Espagnol | escuchó |
Italien | sentito |
Allemand | gehört |
Chinois | 听到 |
Arabe | سمع |
Portugais | ouviu |
Russe | слышал |
Japonais | 聞こえた |
Basque | entzun |
Corse | intesu |