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Vivre
Définitions de « vivre »
Vivre - Verbe
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Posséder la caractéristique biologique de la vie, être en état de fonctionnement vital.
Vivre, c'est maintenir en activité les fonctions essentielles qui définissent l'existence biologique.
— (Citation fictive) -
Poursuivre l'existence selon un certain mode ou dans un certain lieu.
Retourner au village, vivre à nouveau parmi les racontars des femmes, écouter tout le jour les piaulements des dindes et des poulets, les bêlements des moutons, cela l’attirait peu.
— Out-el-Kouloub, Zaheira -
(Botanique) Croître et se développer dans un environnement spécifique.
Déchues de leur rôle de dominatrices, les Fougères se sont réfugiées à l’ombre des grands Phanérogames; elles vivent sous bois et n’y brillent pas.
— Henry Correvon, Les fougères de pleine terre et les prêles -
Exploiter pleinement son existence pour jouir de ses aspects enrichissants ou agréables.
Ici, Piganiol et Pesquidoux se rencontrent : il faudrait qu’une impulsion suprahumaine vînt redonner à ces races blasées l’appétit de vivre, la foi en l’avenir.
— Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité -
Mener une existence spirituellement engagée ou mystiquement dévouée dans une perspective religieuse
Ces dévoués, ou victimes de l’amour, étaient des gens immolés, anéantis en eux-mêmes, et qui ne vivaient plus qu’en Dieu.
— Jules Michelet, Du prêtre -
Disposer des ressources nécessaires à la subsistance et au maintien de l'existence.
Vivre de notre plume, ce serait le rêve. Des romans et des piges, des piges et des romans. De quoi vivre d'une manière décente, sans demander le bout du monde. Entre un et deux Smic par mois pour commencer, là, ça irait.
— Jan Thirion, 20 manières de se débarrasser des Limaces -
Adopter un certain niveau de dépenses pour ses besoins quotidiens tels que l'alimentation ou l'habillement.
Vivre avec économie.
— Vivre mesquinement, sordidement -
Expérimenter divers modes de vie en fonction des états professionnels ou personnels choisis, ainsi que dans différents environnements géographiques ou sociaux.
Je puis en dire autant d’El-Haj Ahmed Ben-Chekron qui me sert d’interprète dans mes autres visites et qui lui ayant vécu en Espagne s’exprime correctement en castillan.
— Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue -
Ressentir pleinement son existence à travers chaque aspect constitutif de son être personnel.
Vivre consiste toujours pour une part significative à résister à ce qui menace l'affirmation ton humanité.
— Jean Proulx, Grandir en humanité -
(Fig.) Persister dans le temps, demeurer influent ou mémorable à travers les âges.
La société existe. Elle veut vivre. Donc elle réagit. Supposez qu’elle ne se défende pas : elle serait en quelques heures la proie d’innombrables fripouilles… Tout s’écroulerait.
— Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai -
Se sustenter par l'ingestion de nourriture ou l'utilisation de ressources disponibles.
Il n'y avait aucun risque de collision, car le schnorchel avait été rentré pour cette raison même, et le submersible vivait sur ses réserves d'air.
— Arthur C. Clarke, Le Laboureur de la mer -
(Morale) Agir conformément aux normes éthiques ou religieuses établies.
Vivre, c’est incarner les principes que l'on prêche, une coexistence harmonieuse entre les convictions profondes et les actions quotidiennes.
— (Citation fictive) -
(Social) Entretenir des relations étroites et partagées avec une autre personne; cohabiter sans être mariés lorsqu'utilisé familièrement.
Vivre ensemble, c’est partager au quotidien le théâtre de nos existences, dans une complicité choisie, échappant aux contraintes du mariage.
— (Citation fictive) -
Le subjonctif s’emploie comme formule d’acclamation.
Que chacun vive pleinement, que l’espoir demeure ardent, et que les cœurs battent en unisson pour forger le futur !
— (Citation fictive) -
(Familier) Exprime l'estime ou la valeur attribuée à quelque chose ou quelqu'un.
Chaque jour à vivre est une victoire. Chaque jour vécu une défaite.
— San Antonio, Réflexions définitives sur l'au-delà
Vivre - Nom commun
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(Vieilli ou Soutenu) État d'être en vie, existence.
Passant à un stade plus évolué l’A. [Académie des sciences] précise : « […] dans la société de type féodal, la classe dominante remplit […] la fonction sociale de rationneur et […] accroît ainsi la population qui vit sur un territoire donné ; le vivre plus s’accompagne du vivre mal ».
— Revue de géographie de Lyon, Institut des études rhodaniennes -
(Vieilli) Ensemble des aliments nécessaires à l'alimentation.
Pour comble, les derniers vivres sur le point de manquer, demain peut-être sans pain.
— Paul et Victor Margueritte, Les Tronçons du glaive -
(Héraldique) Terme synonyme de vouivre, une créature légendaire ressemblant à un dragon.
En héraldique, le blason de la famille est orné d'une vouivre, symbole vivant et flamboyant d'une lignée aussi ancienne que mystérieuse.
— (Citation fictive)
Expressions liées
- Administration des vivres
- Apprendre à vivre
- Apprendre à vivre à quelqu'un (apprendre les règles, les usages de la vie sociale, de la vie en société enseigner les règles de la civilité p. ext., fam., donner une leçon à quelqu'un.)
- Approvisionnement en vivres
- Avoir peu de temps à vivre
- Avoir, ne pas avoir de quoi vivre
- Bien, mal vivre
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Bien-vivre
Ce qu'on donne aux méchants, toujours on le regrette […] Laissez-leur prendre un pied chez vous, Ils en auront bientôt pris quatre.
— Jean de La Fontaine, Fables, la Lice et sa Compagne - Cambuse, soute à vivres (soute où est conservé le ravitaillement.)
- Couper les vivres à quelqu'un (supprimer toute aide pécuniaire à quelqu'un.)
- Désirer, vouloir vivre
- Expression qui vit
- Faire vivre quelqu'un (assurer à quelqu'un les moyens nécessaires à son existence.)
- Fournir des vivres
- Il a vécu (il est mort.)
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Il faut bien vivre
Il avait couru ses derniers cachets puis, sa défroque rangée, avait décidé de redevenir Émile et, la mort dans l'âme, de bricoler pour tout un chacun. Il faut bien vivre
— Jacques Faizant, Rue Panse-Bougre - Laisser vivre quelqu'un
- Langue qui vit
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Le vivre et le couvert (la nourriture et le logement.)
Il se rappela les deux semaines durant lesquelles le gouvernement lui avait donné le vivre et le couvert. Il envia le sort des prisonniers
— Anatole France, Crainquebille - Manquer de vivres
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Mieux-vivre
Dans ce domaine tellement plus m'importe le mieux vivre qui en découlera, que tout le reste. Que je devienne tous les jours meilleur, moins imparfait, que je les rende aussi heureuses que je le puis.
— Marcel Du Bos, Journal - Ne plus vivre (être dans un état de grande anxiété.)
- Ne rencontrer âme qui vive
- Ne vivre que pour ses enfants
- Rationner les vivres
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Savoir-vivre
La courtoisie est la partie principale du savoir-vivre, c'est une espèce de charme par où l'on se fait aimer de tout le monde.
— Jacques Deval, Afin de vivre bel et bien -
Se laisser vivre (ne pas faire beaucoup d'efforts ne pas s'inquiéter de l'avenir être indolent, insouciant.)
Il y a toutes sortes de suicides. Se laisser mourir est sans doute le plus commun de tous. Se laisser vivre revient peut-être au même. Ça dépend du tempérament. Les gens actifs se tuent, les autres sont trop paresseux.
— Claire de Lamirande, Le grand élixir - Se regarder, se sentir vivre
- Se vivre comme un marginal
- Vivre avec les hommes
- Vivre avec quelqu'un (former un couple sans être marié partager la vie de quelqu'un.)
- Vivre avec quelqu'un comme chien et chat
- Vivre avec sa femme et ses enfants
- Vivre d'amour et d'eau fraîche/claire
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Vivre d'espérance
Vivre d'espérance, c'est comme marcher sur un fil invisible tendu entre la réalité et le rêve.
— Émile Dupont, Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle - Vivre dans la crainte, dans l'anxiété
- Vivre dans la société distinguée
- Vivre dans le doute, dans l'ignorance
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Vivre dans le monde
Il est impossible de vivre dans le monde sans jouer de temps en temps la comédie.
— Chamfort, Maximes et pensées - Vivre dans le temps de/dans un temps de
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Vivre de l'air du temps (disposer de faibles moyens matériels et s'en contenter.)
– Oui… Nous allons habiter ensemble, dit Louis.– C'est beau à votre âge… On vit de l'air du temps, hein ?
— Patrick Modiano, Une jeunesse - Vivre de ses rentes
- Vivre de son art
- Vivre des femmes
- Vivre des jours heureux
- Vivre du temps de quelqu'un/quelque chose
- Vivre en bonne intelligence avec les hommes
- Vivre en communauté
- Vivre en couple, en groupe
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Vivre en ermite
Comme un calybite des premiers siècles, il avait abandonné les fastes de la société pour vivre en ermite dans une humble cabane, subsistant dans une dévotion ascétique à sa foi.
— (Citation fictive) - Vivre en étranger dans la société
- Vivre la vie de tous les jours
- Vivre les uns sur les autres (avoir des conditions matérielles de vie défavorables, ne permettant pas de s'isoler.)
- Vivre sa joie, ses amours
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Vivre sa vie (mener sa vie à sa guise, de manière indépendante, en se libérant des contraintes imposées de l'extérieur.)
Le jeune Bernard a brusquement quitté le foyer familial, où il n'aurait jamais dû entrer. Il est allé « vivre sa vie », comme disait Émile Augier; vivre on ne sait comment, et on ne sait où
— Gide, Faux-monn. - Vivre sans affection, sans soins
- Vivre sans compter
- Vivre seul, à deux
- Vivre sur la fortune, sur le bien de quelqu'un
- Vivre sur quelque chose (continuer à tirer un bénéfice d'un acquis passé sans rien faire pour changer ou améliorer sa situation.)
- Vivre sur ses réserves, sur son fond
- Vivre un moment, un instant exaltant
- Vivre une triste existence
- Vivre une vie fraternelle
- Vivre à l'aise, à l'économie
- Vivre à l'hôtel, chez ses parents
- Vivres abondants
- Vivres de réserve (nourriture dont chaque soldat dispose pour pallier un défaut de ravitaillement.)
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Vivres frais (nourriture achetée aux escales par l'ordinaire.)
Les ports d'escale sont tout d'abord utilisés pour le ravitaillement en combustible, en eau douce et en vivres frais
— M. Benoist-Pettier, Transport maritime -
Âme qui vive (être humain quel qu'il soit.)
En montant sur la petite falaise, on n'apercevait âme qui vive, dans la plaine un peu nue et désolée qui s'étendait alentour
— auteur
Étymologie de « vivre »
Du moyen français vivre, de l’ancien français vivre, du latin vīvere (« vivre »), infinitif présent actif de vīvō, du proto-italique *gʷīwō, ultimement de l’indo-européen *gʷíh₃weti (« vivre, être vivant »). Cognat du francoprovençal vivre, de l’italien vivere, de l’espagnol vivir, du portugais viver.Usage du mot « vivre »
Évolution historique de l’usage du mot « vivre » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « vivre » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Synonymes de « vivre »
Antonymes de « vivre »
Citations contenant le mot « vivre »
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Mais comme chaque chose a sa raison, et que la fantaisie d’un individu me paraît tout aussi légitime que l’appétit d’un million d’hommes et qu’elle peut tenir autant de place dans le monde, il faut, abstraction faite des choses, et indépendamment de l’humanité qui nous renie, vivre pour sa vocation, monter dans sa tour d’ivoire et là, comme une bayadère dans ses parfums, rester, seul, dans nos rêves
Gustave Flaubert — Correspondance -
Voilà. Ces personnages vont vous jouer l’histoire d’Antigone. Antigone, c’est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. Elle pense qu’elle va être Antigone tout à l’heure, qu’elle va surgir soudain de la maigre jeune fille noiraude et renfermée que personne ne prenait au sérieux dans la famille et se dresser seule en face du monde, seule en face de Créon, son oncle, qui est le roi. Elle pense qu’elle va mourir, qu’elle est jeune et qu’elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n’y a rien à faire. Elle s’appelle Antigone et il va falloir qu’elle joue son rôle jusqu’au bout… Et, depuis que ce rideau s’est levé, elle sent qu’elle s’éloigne à une vitesse vertigineuse de sa sœur Ismène, qui bavarde et rit avec un jeune homme, de nous tous, qui sommes là bien tranquilles à la regarder, de nous qui n’avons pas à mourir ce soir.Le jeune homme avec qui parle la blonde, la belle, l’heureuse Ismène, c’est Hémon, le fils de Créon. Il est le fiancé d’Antigone. Tout le portait vers Ismène : son goût de la danse et des jeux, son goût du bonheur et de la réussite, sa sensualité aussi, car Ismène est bien plus belle qu’Antigone ; et puis un soir, un soir de bal où il n’avait dansé qu’avec Ismène, un soir où Ismène avait été éblouissante dans sa nouvelle robe, il a été trouver Antigone qui rêvait dans un coin, comme en ce moment, ses bras entourant ses genoux, et il lui a demandé d’être sa femme. Personne n’a jamais compris pourquoi. Antigone a levé sans étonnement ses yeux graves sur lui et elle lui a dit « oui » avec un petit sourire triste… L’orchestre attaquait une nouvelle danse, Ismène riait aux éclats, là-bas, au milieu des autres garçons, et voilà, maintenant, lui, il allait être le mari d’Antigone. Il ne savait pas qu’il ne devait jamais exister de mari d’Antigone sur cette terre et que ce titre princier lui donnait seulement le droit de mourir.Cet homme robuste, aux cheveux blancs, qui médite là, près de son page, c’est Créon. C’est le roi. Il a des rides, il est fatigué. Il joue au jeu difficile de conduire les hommes. Avant, du temps d’Œdipe, quand il n’était que le premier personnage de la cour, il aimait la musique, les belles reliures, les longues flâneries chez les petits antiquaires de Thèbes. Mais Œdipe et ses fils sont morts. Il a laissé ses livres, ses objets, il a retroussé ses manches, et il a pris leur place.Quelquefois, le soir, il est fatigué, et il se demande s’il n’est pas vain de conduire les hommes. Si cela n’est pas un office sordide qu’on doit laisser à d’autres, plus frustes… Et puis, au matin, des problèmes précis se posent, qu’il faut résoudre, et il se lève, tranquille, comme un ouvrier au seuil de sa journée.La vieille dame qui tricote, à côté de la nourrice qui a élevé les deux petites, c’est Eurydice, la femme de Créon. Elle tricotera pendant toute la tragédie jusqu’à ce que son tour vienne de se lever et de mourir. Elle est bonne, digne, aimante. Elle ne lui est d’aucun secours. Créon est seul. Seul avec son petit page qui est trop petit et qui ne peut rien non plus pour lui.Ce garçon pâle, là-bas, au fond, qui rêve adossé au mur, solitaire, c’est le Messager. C’est lui qui viendra annoncer la mort d’Hémon tout à l’heure. C’est pour cela qu’il n’a pas envie de bavarder ni de se mêler aux autres. Il sait déjà…Enfin les trois hommes rougeauds qui jouent aux cartes, leurs chapeaux sur la nuque, ce sont les gardes. Ce ne sont pas de mauvais bougres, ils ont des femmes, des enfants, et des petits ennuis comme tout le monde, mais ils vous empoigneront les accusés le plus tranquillement du monde tout à l’heure. Ils sentent l’ail, le cuir et le vin rouge et ils sont dépourvus de toute imagination. Ce sont les auxiliaires toujours innocents et toujours satisfaits d’eux-mêmes, de la justice. Pour le moment, jusqu’à ce qu’un nouveau chef de Thèbes dûment mandaté leur ordonne de l’arrêter à son tour, ce sont les auxiliaires de la justice de Créon.Et maintenant que vous les connaissez tous, ils vont pouvoir vous jouer leur histoire. Elle commence au moment où les deux fils d’Œdipe, Étéocle et Polynice, qui devaient régner sur Thèbes un an chacun à tour de rôle, se sont battus et entre-tués sous les murs de la ville, Étéocle l’aîné, au terme de la première année de pouvoir, ayant refusé de céder la place à son frère. Sept grands princes étrangers que Polynice avait gagnés à sa cause ont été défaits devant les sept portes de Thèbes. Maintenant la ville est sauvée, les deux frères ennemis sont morts et Créon, le roi, a ordonné qu’à Étéocle, le bon frère, il serait fait d’imposantes funérailles, mais que Polynice, le vaurien, le révolté, le voyou, serait laissé sans pleurs et sans sépulture, la proie des corbeaux et des chacals… Quiconque osera lui rendre les devoirs funèbres sera impitoyablement puni de mort.Pendant que le Prologue parlait, les personnages sont sortis un à un. Le Prologue disparaît aussi. L’éclairage s’est modifié sur la scène. C’est maintenant une aube grise et livide dans une maison qui dort. Antigone entr’ouvre la porte et rentre de l’extérieur sur la pointe de ses pieds nus, ses souliers à la main. Elle reste un instant immobile à écouter. La nourrice surgit.
Jean Anouilh — Antigone -
Vieillir est ennuyeux, mais c’est le seul moyen que l’on ait trouvé de vivre longtemps.
Sainte Beuve — Portraits littéraires -
Vivre est une torture puisque vivre sépare.
Albert Camus — Les Justes -
Vivre tous simplement pour que tous puissent simplement vivre.
Gandhi -
Il a l’intention de les montrer à Portela et de discuter avec lui d’un petit commerce, d’une manière de vivre. Ensuite il s’occupera du Jean de Calais et des aventures bouffonnes des Bossus. Tout vient à point à qui sait attendre.
José Cardoso Pires — L’invité de Job -
C'est vivre et cesser de vivre qui sont des solutions imaginaires. L'existence est ailleurs.
André Breton — Manifeste du surréalisme, Pauvert -
Suivant le dire d'un ancien*, il faut manger pour vivre, et non pas vivre pour manger.
Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière — L'Avare, III, 1, Valère
Traductions du mot « vivre »
Langue | Traduction |
---|---|
Anglais | live |
Espagnol | vivir |
Italien | vivere |
Allemand | leben |
Chinois | 生活 |
Arabe | حي |
Portugais | viver |
Russe | прямой эфир |
Japonais | 住む |
Basque | bizi |
Corse | campà |